‘Les Petites Chroniques de Cindy : Les conseils Tremplin pour booster votre Carrière !’ – Présentation

  • par Cindy Triaire
  • Jan 05, 2018
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Les Petites Chroniques de Cindy : Les conseils Tremplin pour booster votre carrière ! Présentation du BLOG

Vous êtes indépendant, chef d’entreprise, responsable d’équipe, en recherche active d’emploi ou en reconversion professionnelle ? Bienvenue sur ce blog coloré empreint d’astuces, de conseils et de recommandations bienveillantes !

Si la vie professionnelle nous offre de vivre des expériences épanouissantes, certaines d’entres elles demeurent éprouvantes. Le monde du travail est ainsi tout aussi passionnant que ce qu’il peut être déroutant.

Chaque parcours de vie en est une illustration.

Certains patrons ont tout perdu suite à une convocation prud’homale, un changement de loi ou un problème financier, quand certains salariés se sont vus licenciés, malmenés ou victime d’un accident du travail.

Des milliers d’entre nous ont vécu la mise au placard quand d’autres ont connu des promotions exceptionnelles les ayant conduit au sommet.

La vie professionnelle est tout sauf  un long fleuve tranquille : elle regorge d’aléas, de tournants décisifs et implique des décisions qui peuvent impacter lourdement notre vie.

Le monde du travail est un artefact d’éléments passionnants qu’il convient alors d’appréhender avec  recul et lucidité.

C’est pourquoi j’ai pris le parti de créer ce blog et de partager avec vous un certain nombre de conseils pratiques et avisés pour faciliter votre quotidien.

Ce dernier est à destination de toute personne impliquée, motivée, déterminée à promouvoir une évolution de carrière, quelque soit son statut !

Parce que rien n’est figé, ‘Les Petites Chroniques de Cindy’ entendent accompagner votre réussite personnelle et professionnelle !

Merci de votre confiance. Merci de votre soutien. Merci par avance de vos nombreux partages.

Belle lecture !

Comment réguler les conflits en entreprise ?

BLOG - TREMPLIN CARRIERE animé par Cindy TRIAIRE

Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour pour une nouvelle chronique à même de vous aider, chers dirigeants d’entreprise, à réguler les tensions.

Les conflits génèrent de sérieuses perturbations : baisse de performance, turn-over ou encore absentéisme, tels sont les conséquences possibles de tensions non apaisées.

Les entretiens de recadrages ne suffisant pas toujours, il peut être bienvenu d’en passer par une médiation.

Mais dans cette optique, plusieurs règles doivent être respectées :

Etape n°1 : Choisir une personne neutre et objective, bienveillante et conciliante, capable de dire les choses avec tact et pédagogie.

Etape n°2 : Établir un diagnostic de la situation en relatant le ou les éléments déclencheurs. Prendre soin de bien replacer les informations dans leur contexte.

Etape n°3 : Rappeler l’importance de la discrétion. Seuls les éléments factuels devront figurer dans le rapport final. Il est indispensable de respecter l’histoire, le vécu et les confidences des personnes rencontrées.

Etape n°4 : Autoriser une rencontre équitable avec chacun des acteurs concerné par le conflit. Prendre garde à n’oublier personne.

Etape n°5 : Un conflit suppose bien souvent un enchevêtrement de malentendus, en lien avec une absence de communication claire à l’origine du quiproquo. Montrer à chacun, sans le juger ni le culpabiliser, qu’il possède sa part de responsabilité est certes peu aisé mais nécessaire pour aboutir sur une volonté commune d’apaisement.

Etape n°6 : Introduire la réunion de médiation en rappelant qu’aucune insulte, agression ou départ précipité ne saurait être accepté. Privilégier toujours un lieu neutre en bannissant les endroits chargés de souvenirs négatifs.

Etape n°7 : Rappeler l’objectif de la rencontre et demander à chacun de s’exprimer en respect des 4 étapes de la communication non-violente que sont le constat, l’expression du sentiment, l’expression du besoin et la formulation d’une demande claire.

Et enfin, Etape n°8 : Rédiger un rapport final qui relate les engagements pris par chacun.

Vous voici désormais armés pour vous conditionner aux règles élémentaires d’une médiation réussie. Attention toutefois, si vous ne vous sentez pas de mener la médiation, la meilleure idée est encore de faire appel à un professionnel avisé.

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro.

Comment décrédibiliser son management ? Les pires erreurs à éviter !

BLOG - TREMPLIN CARRIERE animé par Cindy TRIAIRE

Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour pour une nouvelle chronique à même de vous présenter les pires erreurs de management !

Erreur n°1 : La mise en concurrence

Si la compétition peut être un moteur, attention à ne pas en abuser ! Discréditer le travail d’un collaborateur pour valoriser celui d’un autre, rabaisser les efforts de l’un en rappelant les succès de l’autre, peuvent créer à moyen terme un climat délétère qui ne saurait être constructif.

Erreur n°2 : L’absence de feed-back

L’absence de retour est l’un des piliers de la contre productivité. Le salarié ne sachant pas s’il a répondu ou non aux attentes ne peut ni se remettre en question, ni évoluer positivement au sein de l’entreprise. Il est capital de planifier des points réguliers, factuels et empreints de bienveillance pour qu’il puisse aller de l’avant et suivre la ligne de conduite attendue.

Erreur n°3 : La complicité à outrance

Attention à ne pas faire ami-ami de trop avec les membres de son équipe au risque de perdre tout impact dans le cadre d’un recadrage devenu nécessaire. Pour autant, il ne sert à rien de garder volontairement une trop grande distance avec ses collaborateurs. Il faut être capable d’opter pour le juste milieu.

Erreur n°4 : L’absence d’intérêt pour la vie privée

S’il vous revient de faire la part des choses, il ne s’agit pas pour autant de se désintéresser de la vie de vos collaborateurs. La frontière est souvent fine entre la vie personnelle et professionnelle. Sans doute vaut-il mieux en connaître les grandes lignes pour interpréter avec plus de justesse les comportements des membres de l’équipe.

Erreur n°5 : L’absence de félicitations

Si le salarié est certes payé pour le travail qu’il réalise, cela n’exclue en rien des remerciements ou des félicitations pour les missions réalisées avec succès. Il ne s’agit pas de systématiquement pointer du doigt les erreurs commises mais bel et bien de valoriser les actions conduites avec brio ou efficacité !

Vous voici désormais armés pour vérifier si votre attitude de manager ne tombe pas dans le travers de l’une ou l’autre de ces maladresses !

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro.

Comment changer de poste sans prise de risque inconsidérée ?

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Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour pour une nouvelle chronique à même de vous présenter les erreurs à ne pas commettre lorsque l’on veut changer de poste !

Conseil n°1 Prenez garde à ne pas aspirer à des prétentions salariales trop élevées !

En règle générale, une hausse est comprise entre 10 et 15%. En demandant trop, vous risquez de refroidir les ardeurs des potentiels recruteurs.

Conseil n°2 Prenez garde à ne pas trop avoir la bougeotte. Il est difficile pour un recruteur que d’investir dans une formation s’il pressent que vous quitterez très vite le navire !

Conseil n°3 De la même manière, il peut être risqué de rester trop longtemps au sein de la même entreprise, car le futur recruteur pourrait avoir la sensation que vous vous êtes, tout au long de ces dernières années, reposé sur vos lauriers ou installé dans une zone de confort qui pourrait l’effrayer.

Conseil n°4 Attention à ne pas sauter sur la première offre venue ! Il est important de considérer la recherche d’emploi comme une stratégie à part entière. Il vaut mieux prendre le temps de la réflexion pour soupeser dans quelle mesure vous pourrez co-construire une relation apaisée et productive !

Conseil n°5 Prenez garde à ne pas dénigrer votre employeur passé ou actuel. Le recruteur n’a pas à jouer les arbitres ! En outre, il aspire à intégrer dans ses équipes des personnes dynamiques, enjouées et positives.

Et enfin, Conseil n°6 Prenez garde à ne pas effectuer vos recherches sur votre lieu de travail. Les salariés ont en effet une obligation de loyauté vis-à-vis de leur employeur. Aussi, essayer de lui faire faux bond durant les heures de travail pourrait vous coûter très cher !

Vous voici désormais armés pour assurer vos arrières et autoriser des démarches honnêtes et payantes.

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro.

Comment rédiger une lettre de motivation différenciante

BLOG - TREMPLIN CARRIERE animé par Cindy TRIAIRE

Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour pour présenter avec entrain les dessous d’une lettre de motivation différenciante !

Souvent banalisée, régulièrement standardisée, nombre de recruteurs finissent par ne plus la lire jusqu’au bout.

Faire immédiatement la différence, telle est la vocation de la présente chronique ! Voici à ce titre 5 conseils clefs :

Conseil n°1 : Votre lettre de motivation doit être courte (de 12 à 15 lignes), convaincante et personnalisée, c’est à dire qu’elle doit être différente pour chacune de vos candidatures. Certes, cela prend du temps, mais c’est incontestablement plus efficace. Le recruteur constatant que vous avez pris soin de lire attentivement l’annonce, sera incité à mieux vous connaitre car reconnaissant de l’intérêt que vous lui portez.

Conseil n°2 : Idéalement, obtenez le nom du recruteur et adressez-lui votre candidature sur sa boite mail à l’aide d’un message d’accompagnement ici encore personnalisé. Ceci augmentera vos chances de convocation en entretien.

Rédigez par ailleurs une accroche qui attire l’œil. Evitez à tout prix les phrases génériques de type : “Intéressé par votre offre, je vous propose ma candidature”. Bien trop courant et bateau !

Conseil n°3 : Dès le premier paragraphe, vous devez montrer votre intérêt pour l’entreprise en décrivant son activité et ses valeurs. Il vous est généralement possible de trouver ces informations sur le site de l’entreprise. N’hésitez pas à citer des exemples concrets qui vous ont séduits tels que la dernière actualité de la société, ses derniers succès commerciaux ou ses souhaits d’extension par exemple !

Conseil n°4 : Au cœur du second paragraphe, il convient d’expliquer pourquoi cette offre correspond à vos compétences et attentes professionnelles. Reprenez les éléments clés du descriptif de poste SANS pour autant les paraphraser ! Optez pour des tournures semblables mais qui ne soient pas extraites d’un copier-coller basique et sans âme véritable. Vous pouvez également citer vos expériences mais sans recopier le contenu de votre CV afin d’éviter toute redondance !

Conseil n°5 : Dans votre conclusion, vous devez inciter le recruteur à vous contacter pour un entretien. Exposez votre motivation pour le poste en question et proposez-lui un échange. Le recruteur doit sentir votre envie sincère de rejoindre son entreprise.

Vous voici désormais armés pour vous démarquer de la concurrence !

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro.

Comment définir son projet de reconversion professionnelle ?

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Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour pour aborder une reconversion sans prise de risque !

La reconversion professionnelle n’est plus considérée comme un échec mais comme la possibilité d’un nouveau départ permettant de reprendre sa vie en main. Toutefois, pour mettre toutes les chances de votre côté, voici pour vous décodé le processus de reconversion :

Etape n°1 – LE CONSTAT

Un projet de reconversion est souvent motivé par un idéal en vue de contrebalancer un sentiment de saturation vis-à-vis de sa vie professionnelle.

Pour changer de vie, il faut ainsi et avant tout bien comprendre la nature de son désengagement : lassitude, manque de reconnaissance, perte de sens … autant de signaux à repérer et interpréter. Ce constat nous invite ainsi à chercher des solutions et à agir.

Etape n°2 – LE PROJET

Le constat est sans appel : il vous faut changer. Mais quelle est l’ampleur du changement à mener ? Une reconversion est-elle nécessaire ? Quelles sont les options qui s’offrent à vous ? A ce stade, une introspection est nécessaire afin d’appréhender les contours d’un projet cohérent.

Etape n°3 – LA DÉCISION

Convient-il de faire le grand saut ou pas ? Et pour quel projet ? Il existe, pour répondre à ces interrogations, une méthodologie précise. C’est le moment de se projeter dans chacune des options envisagées au travers de critères rationnels tels que la rémunération, le cadre de vie, l’évolution espérée ou encore les répercussions possibles pour l’entourage, le tout, en prenant soin d’écouter notre intuition.

Etape n°4 – PASSER À L’ACTION

La décision est prise ?! Youpppiiii ! Votre voie est désormais identifiée. Reste à éviter quelques pièges !

Choisissez ainsi la meilleure transition avec votre job actuel (démission, licenciement, rupture conventionnelle, congé pour création d’entreprise…), repérez les sources de financement et élaborez un montage financier intelligent !

Etape n°5 – LA COHÉRENCE

Etre bien dans ce que l’on fait, éprouver la sensation d’avoir enfin trouvé sa voie, telle est sans aucun doute la finalité de tout cela !

Vous voici désormais armés pour changer de vie !

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro.

Burn-out : détectez les signes avant-coureurs

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Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour pour une nouvelle chronique à même de vous encourager chers dirigeants et responsables d’équipes, à prévenir les risques psycho sociaux !

Triste effet de mode, le burn-out ou syndrome d’épuisement, constitue une réalité dans nombre d’entreprises.

Ce dernier pouvant conduire à la dépression, il représente de lourdes conséquences pour le dirigeant. Un patron qui ne mettrait rien en œuvre pour prévenir un tel risque, peut être en effet condamné, au pénal, pour faute inexcusable, et être redevable d’une sanction financière pouvant aller jusqu’à 500 000 euros !

Il est donc important de détecter au plus tôt les signaux d’alarme.

Voici pour vous centralisés, les quatre phases du processus allant du plaisir au travail à l’épuisement professionnel :

Phase n°1 : Dynamique, enthousiaste, votre salarié affiche une réelle satisfaction au bureau. Soucieux de se surpasser, il accepte les aspects complexes ou négatifs de son travail et affiche une motivation à toute épreuve.

Phase n°2 : Soumis à une charge de travail excessive, le salarié laisse peu à peu son environnement professionnel envahir sa vie privée. Le temps de travail dépasse de manière régulière les 10 à 12 heures par jour, si bien que le surengagement devient récurrent.

Phase n°3 : Obsédé par l’atteinte des objectifs, le salarié se met une pression telle que son travail baisse en qualité. Le plaisir laisse alors place à un comportement négatif impliquant anxiété, plaintes ou brouilles répétées avec les collègues.

Phase n°4 : Le salarié finit malheureusement par craquer et s’arrêter.

Vous voici désormais armés pour pressentir les risques psychosociaux en faisant preuve de la vigilance requise !

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro.

Les 3 raisons qui poussent les employés à démissionner !

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Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour pour accompagner avec entrain les managers et chefs d’entreprises pour une prise de conscience quant aux raisons qui peuvent conduire leurs meilleurs éléments à démissionner. 

Argument n°1. Les responsables d’équipes font travailler les meilleurs plus que les autres

Rien ne fait plus fuir les bons employés que de les surcharger de travail. Si au regard de leurs aptitudes, il est en effet tentant les faire travailler davantage, ils peuvent, à moyen terme, avoir le sentiment d’être punis ou pénalisés en raison d’une répartition inéquitable.

Ainsi, si vous devez augmenter la charge de travail de vos employés les plus talentueux, il convient que leur statut évolue au prorata. Une augmentation, une promotion, une souplesse vis-à-vis des créneaux horaires, autant de suggestions possibles pour augmenter les heures passées au bureau en respect des efforts fournis.

Argument n°2. Les managers ne sont pas reconnaissants et ne récompensent pas suffisamment le travail réalisé

Nombre d’entre nous éprouvent le besoin d’être reconnus et félicités pour le travail effectué. Les managers doivent ainsi apprendre à communiquer avec leurs équipes pour savoir ce qui les fait se sentir utiles. Pour certains, cela passe par une augmentation, pour d’autres, par une reconnaissance publique. Il n’y a rien de plus frustrant que de donner de sa personne, d’obtenir des résultats mais de ne pas être valorisé pour cet investissement.

Argument n°3. L’encadrement ne se soucie pas assez de ses employés

Plus de la moitié de ceux qui quittent leur travail le feraient en raison de la mauvaise relation qu’ils entretiennent avec leur(s) supérieur(s). Aussi, un patron qui célèbre le succès d’un de ses employés, qui éprouve de l’empathie envers celui qui traverse une mauvaise passe offrira une atmosphère apaisante, capable de fidéliser les équipes. Un dirigeant qui n’agit pas en respect de ces quelques principes pourra être confronté à un fort turnover.

Vous voici désormais armés pour décrypter les raisons susceptibles d’encourager le départ de vos meilleurs salariés !

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro.

6 étapes pour voir la vie du bon côté !

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6 ÉTAPES POUR VOIR LA VIE DU BON CÔTÉ !

Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour en vue d’indiquer comment il est possible d’apprendre à voir la vie du bon côté !

Selon les plus récentes études en psychologie, la génétique ne dicterait que la moitié de notre propension à l’optimisme. L’autre moitié viendrait de l’influence de notre entourage, des circonstances de la vie et de notre propre manière d’interpréter les événements.

Aussi, voici pour vous centralisées les 6 étapes requises !

Condition n°1 – Prendre conscience que nos certitudes reposent souvent sur une interprétation des événements.

S’efforcer de considérer l’éventail des possibilités aide à adopter un point de vue moins négatif.

Condition n°2 – Entraîner ses perceptions

Père de la psychologie positive, Martin Seligman a montré que nous pouvions nous entraîner à percevoir nos succès et nos défaites de manières différentes. Ainsi, là où un optimiste voit un problème particulier et temporaire, le pessimiste voit un échec généralisé et durable… Or, la confiance en l’avenir de l’optimiste lui permet de relever plus facilement les challenges et de faciliter ses succès. 

Condition n°3 – Utiliser des parenthèses

Lors d’un coup dur, il peut être utile de se souvenir que la vie a déjà été plus sereine et que des jours meilleurs s’en viendront. Marc-André Dufour, psychologue clinicien, parle ainsi d’une parenthèse à résoudre avant de poursuivre son chemin.

Condition n°4 – Agir sur son environnement immédiat

Si le sentiment d’impuissance éprouvé face aux grands maux de la planète demeure néfaste, entreprendre des actions aux effets mesurables autour de soi peut contribuer sans conteste à donner un sens à sa vie.

Condition n°5 – Se projeter positivement

Pour entrevoir la vie avec confiance et se motiver, il est essentiel de penser aux obstacles qui se dresseront sur notre route et d’établir un plan d’action pour y faire face, le tout, en imaginant plusieurs chemins possibles pour garder espoir malgré les embûches.

Condition n°6 – Admettre que la vie peut être tragique

Deuils, maladies, accidents… Nous finissons tous un jour ou l’autre par être frappés par le malheur. C’est pourquoi, à l’image de Viktor Frankl, psychiatre autrichien enfermé trois ans dans un camp de concentration, il peut être salvateur d’adopter ce qu’il appelle « l’optimisme tragique » : puisque notre temps est compté, profitons des bons moments, aussi fugaces soient-ils !

ET voilà ! Vous voici désormais armés pour voir la vie du bon côté !

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro.

Cindy TRIAIRE signature - Tremplin Carrière

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Pour aller de l’avant : 
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Vous aimez lire, plongez avec passion dans mon univers littéraire !

 

Besoin d’une petite touche d’optimisme ? :0) Offrez-vous de cliquer sur la chronique radio que voici !!!

Séance de dédicaces au marché de Beaumont de Lomagne !

  • par Cindy Triaire
  • Jan 29, 2024
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Un grand merci à Laurent Mercadier, correspondante à La Dépêche, pour la rédaction et publication du présent article !

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Informations et témoignages : romans.cindytriaire.com

Comment mettre fin aux trous de mémoire ?

BLOG - TREMPLIN CARRIERE animé par Cindy TRIAIRE

Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour pour vous expliquer comment il est possible de mettre fin à vos trous de mémoire !

Avez-vous déjà ressenti ce vide dans votre cerveau au moment de retranscrire sur votre copie tout ce que vous aviez appris la veille ? Ou de restituer à l’oral ce que vous aviez prévu d’énoncer lors de votre réunion du jour ?

Si cela vous arrive régulièrement, peut-être que vous n’avez tout simplement pas la bonne méthode d’apprentissage. A noter qu’il existe 3 types de mémoire différents :

Il existe ce que l’on appelle :

La mémoire visuelle qui consiste à retenir une information que l’on voit.

La mémoire auditive qui consiste à retenir les informations que l’on entend.

et enfin, La mémoire kinesthésique qui consiste à retenir les informations que l’on touche ou ressent.

Pour être certain de bien reconnaître votre type de mémoire, il convient d’analyser votre manière d’apprendre et de retenir les informations.

👉 Lorsque vous apprenez, retenez-vous mieux les schémas, les tableaux ? Lorsque vous fermez les yeux, avez-vous l’impression de visualiser les termes tout justes pris en acte ?

Si oui, vous possédez certainement une mémoire visuelle.

👉 Si vous avez besoin de réciter votre cours ou les informations acquises à haute voix pour les retenir ou si vous avez l’impression de mieux les assimiler lorsque votre professeur, collègue ou N+1 les formule ;

Fort probable, que vous possédiez une mémoire auditive !

👉 Si vous retenez par ailleurs bien mieux les anecdotes qui se rapportent à votre expérience personnelle, si vous apprenez mieux en fonction du degré de sympathie de votre interlocuteur, si pour réviser vous aimez en discuter, en expliquer les concepts ou mettre les mains dans le cambouis en pratiquant ;

Il est à parier que vous possédez une mémoire kinesthésique !

Vous voici désormais armés pour limiter les trous de mémoire et renforcer votre plaisir à l’apprentissage en comprenant par quel type de mémoire vous vous devez d’apprendre !

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro.