Roman – Format papier : ‘Que le jour se lève’
Zoé, depuis sa plus tendre enfance, rêve d’un grand voyage aux Etats Unis. Pour ses trente ans, sa sœur Romy lui offre le plus beau des cadeaux : l’accompagner pour honorer à deux ce voyage d’une vie. Mais par un bel après-midi, le périple se transforme en tragédie.
Il suffit parfois d’un événement inattendu pour que tout bascule, d’un chagrin trop grand pour que l’espoir recule.
Découvrez l’histoire émouvante d’une jeune femme meurtrie, dont les rencontres vont offrir au destin une note de magie.
Et s’il était possible de reconstruire sa vie quand le jour semble avoir laissé place à la nuit ?
17,90€
Auteure de la Préface
Ce projet de roman a été soutenu par l’illustre chanteuse Lara Fabian, qui par sa voix, son talent, son immense générosité, n’a de cesse de marquer les esprits.
Très affectée par la perte de sa maman atteinte de la Maladie à corps de Lewy (sombre mélange entre Alzheimer et Parkinson), Lara Fabian a immédiatement été touchée par ce projet d’écriture.
Sa préface, magnifique de délicatesse, est à elle seule une invitation à la découverte :
***
» Dans le dédale de nos vies, il est des chemins que nous sommes destinés à parcourir, des épreuves qui se dressent sur notre route, défiant notre résilience, notre amour, notre humanité. C’est dans ce labyrinthe d’émotions et de défis que nous plonge le récit poignant qui vous attend. Un récit qui puise sa source dans les profondeurs de l’âme humaine, dans les méandres de la maladie et de la douleur, mais qui s’élève aussi dans les hauteurs de l’amour, de l’espoir et de la rédemption.
Mais surtout, nous découvrons la force inébranlable de l’amour filial, cette lumière qui brille même dans les ténèbres les plus épaisses.
Ce roman n’est pas seulement le récit d’une expérience personnelle, mais un témoignage universel de la condition humaine. Car qui parmi nous n’a pas été touché, de près ou de loin, par la cruauté des maladies neurodégénératives ? Qui n’a pas ressenti cette impuissance déchirante devant la perte progressive de soi-même ou d’un être cher ?
Pourtant, au milieu de cette noirceur, une lueur d’espoir persiste. Car même dans les moments les plus sombres, il existe une beauté fragile à saisir, une leçon de vie à apprendre. À travers les pages de ce roman, on se rappelle que chaque instant, aussi éphémère soit-il, est précieux. Que même dans la tourmente, l’amour et la compassion peuvent fleurir, illuminant notre chemin de fragments de bonheur et de réconfort.
Que ce récit soit donc une ode à la vie, à sa fragilité et à sa force incommensurable. Une invitation à embrasser chaque moment avec gratitude et tendresse, car c’est dans la vulnérabilité que réside la véritable beauté de notre humanité.
Puissent ces mots toucher vos cœurs, éclairer vos esprits et vous rappeler, comme ils l’ont fait pour moi, que même au cœur de la tourmente, il y a toujours de la lumière à trouver « .
Lara FABIAN
Chanteuse, autrice et compositrice internationale
03 octobre 2023,
Cher journal, un ami qui m’est cher m’a invitée à écrire. Écrire pour guérir, pour ne plus souffrir. Écrire pour me reconstruire. Je ne sais pas. Je me demande pourquoi. Pourquoi j’ai dit oui. Pourquoi j’en suis là.
Je te regarde, t’empoigne, et déjà j’ai peur du vide, du creux, de l’insipide. Tes feuilles, trop claires, certes, je voudrais les noircir. Mais de mots justes, de mots qui éclairent, qui incrustent le cœur et transpercent la chair.
Cher journal, j’ai mal. Mal de tenir ce stylo, mal de me livrer et que ça sonne faux.
Mais je crois en LUI. En son histoire, en sa personne, en cet espoir qu’il m’insuffle, ce soutien qu’il me donne. Il s’appelle Arthur. Et à ses côtés, la vie me paraît moins dure, plus douce, moins monotone.
Cher journal, advienne que pourra, je me dois d’avancer. Aussi, pardonne mes ratures, tolère mes doutes, supporte mes fêlures. Cette histoire est celle … de ma plus grande blessure
Le soleil, qui depuis l’aube caressait les visages, avait cédé la place à la tourmente d’un vent froid, prenant les passants en otage. Le ciel, jusque-là parsemé de blancs nuages, se révélait désormais lugubre, digne d’une mauvaise farce. La ville, grouillante quelques instants plus tôt, semblait, de surprise, se vider de ses âmes.
Je me souviens du tonnerre venu ébranler la tôle, de la pluie diluvienne qui suivit, presque folle, et des égouts saturés, inondant les sols. Je me rappelle le vent, tout juste audacieux, devenu soudainement téméraire, et des troncs d’arbres, terrassés, arrachés à la terre. Je revois les panneaux, les feux rouges, les encarts publicitaires déchirer le goudron, virevolter dans les airs. Je me souviens de la terreur, de ce vertige, de cette chute libre au fond du cœur, lorsque les toits se sont mis à trembler, que les lignes électriques, rompues, se sont une à une embrasées.
Tout, tout en cet instant, laissait présager du pire. Et rien, rien de ce chaos n’est aisé à décrire.
Je me revois ainsi, terrifiée, néanmoins incrédule, convaincue d’une issue, assurée d’en sortir. Mais c’était sans compter sur la colère des cieux. Sans compter sur l’océan venu prêter main-forte aux dieux. C’est ainsi que je le vis arracher les digues, avalant la plage, noyant le rivage, recouvrant peu à peu les terres. L’océan, pourtant si calme, devenu soudainement fou, odieux, délétère.
Il ne lui aura fallu qu’un instant, tout juste quelques secondes, pour transformer les caves en tombeaux, les rez-de-chaussée en piscines, les allées en décombres.
C’est ce qu’il me reste de la Floride. Ce souvenir de l’horreur qui chaque nuit me hante. Un ouragan dévastateur, qui, dans son insolence, a happé ma sœur en son antre.
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Des personnages touchants dont on ressent les peines et les joies ! L’auteure nous livre une histoire à la fois belle et terrifiante pour des destins qui se ‘’réparent’’ avec tendresse. Des tranches de vie croisées extrêmement émouvantes !
Un livre qui se lit avec beaucoup d’émotions. Des personnages attachants, un superbe ouvrage !
Si la vie est parfois cruelle, elle réserve aussi des moments de bonheur et nous rappelle qu’être positif nous permet d’avancer.
Un roman qui se délivre peu à peu, avec le sentiment qu’à chaque nouveau chapitre, un sourire se dessinera.
Apaisant et imprégnant, à lire, bien calé dans son fauteuil ! Une réussite.
Un roman qui prend aux tripes !!! Magnifique ! L’auteure a dû vivre plusieurs vies pour écrire avec tant de justesse.
Cindy Triaire continue de nous montrer, avec talent et sensibilité, que chaque chute peut devenir le point de départ d’un envol vers une nouvelle vie.
Perdre son âme sœur et tenter de survivre. Est-ce seulement possible ? Tel est le défi que nous propose de relever Cindy Triaire. Au travers de personnages attachants, on apprend à voir la beauté de la vie en dépit de la maladie, du désespoir. Encore une fois, c’est avec brio que l’auteure nous montre la voie du bonheur !
Cindy TRIAIRE, jeune femme entrepreneure, coach et romancière, a ce don d’insuffler cette force à celles et ceux qui en manquent, une bouffée d’oxygène à celles et ceux qui s’essoufflent.
Chacun de ses romans est une ode à la vie, à l’amour, une lueur d’espoir dans les traversées les plus sombres, une ouverture sur un espace que peu connaissent, la résilience.
Ce dernier roman est plus intense encore, que les précédents, d’une profondeur, à toucher des endroits dans lesquels peu s’aventurent, parce que le risque est présent, d’y laisser une part de soi, auprès de chacun de ces personnages qui nous parlent et nous rappellent l’essentiel.
Certains voudraient oublier, quand d’autres rêvent de se souvenir : QUE LE JOUR SE LEVE, LA MEMOIRE en bagage, un roman plein d’humanité, qui réveille en soi, celle que nous avons peut-être oubliée…
Bonjour Cindy, je viens de finir ton dernier livre. Encore une fois, je me suis plongée dans l’histoire. J’ai pleuré sur la fin lorsque Zoé se rend au cimetière et lorsqu’elle retrouve sa mère. La lettre était pleine d’amour ! Je t’ai trouvé plus engagée, avec une extrême bienveillance vis à vis des différences. Un grand merci pour ce roman rempli d’amour. Ton livre est une réussite, tu peux être fière de toi !
De nouvelles tranches de vies mêlées, des thématiques dures, servies par l’écriture fluide et pleine d’espoir de Cindy. J’ai oscillé entre larmes et sourires tout au long de cette lecture et suis sorti, comme pour ses précédents romans, grandi et plus optimiste.
Coucou Cindy ! J’ai réussi à me raisonner et j’ai attendu ce week-end pour plonger dans ton dernier roman.
Encore une fois Bravo, tu as réussi à me faire pleurer 😭, mais aussi sourire 😀. Je l’ai lu en une fois (petite coupure pour manger quand même 🤪 et calmer les émotions…). Je ne sais pas d’où tu arrives à sortir tout ça et à si bien le mettre en mots, mais c’est vraiment toujours un plaisir de lire ces histoires de vie.
Les maux choisis raisonnent si bien à notre époque… mais tu sais comme toujours en faire des forces. J’espère que ce nouvel opus sera autant apprécié que les autres par tes lecteurs mais je n’en doute pas une seconde.
Ps : la sortie du prochain, c’est pour quand ?😜
Par une après-midi frileuse et surtout l’envie de me poser un peu, je me suis calée sur le divan, un plaid dans une main et votre livre dans l’autre.
Et c’est avec un plaisir évident que je l’ai lu d’une seule traite.
Riche en rebondissements, il ne laisse aucune place à l’ennui.
J’ai aimé ses personnages que je suis parvenue avec une facilité surprenante à visionner dans ma tête.
Votre écriture est toujours aussi fluide !
Et tout ce panel d’émotions où je me suis retrouvée tantôt à sourire, tantôt à pleurer, alternant humour, tendresse, tristesse, bonne humeur et joie !
Vous avez su démontrer que même dans les situations les plus terribles, il est possible de rebondir. Bravo !
A présent il est grand temps « que le jour se lève » sur votre prochain roman !🤣
Bonsoir Cindy, j’ai adoré votre livre que j’ai lu en trois soirées ! Une très belle histoire !
Merci Cindy je viens de finir votre roman qui m’a pris au ❤. D’une histoire touchante vous avez fait valser les mots de maux troublants emprunts de réalité. La vie est juste encombrée de tristesse, de déceptions parfois et de joies. Elle nous apprend à rebondir et à entrevoir nos lendemains avec plus d’empathie et de détermination. « Pas besoin que sonne l’heure sèche tes larmes, tes pleurs. Imagine un autre ailleurs où tout serait plus beau, limpide sans fardeaux comme le ciel et la mer qui s’épouseraient en habits de lumière. » Vous êtes cette lumière qui scintille dans chacun de nous. Merci pour toutes ces pages emplies de beauté et de luminosité. Je ne manquerai pas de parcourir d’autres romans de votre collection littéraire. Bien à vous. Pascale
Coucou Cindy ! J’ai fini ton livre !! Bravo pour l’écriture et les leçons de vie des personnages !! J’en ai eu les larmes aux yeux à plusieurs reprises 🥹 J’attends avec impatience le prochain roman !!
Salut Arnaud ! Tout d’abord très bonne année à toi et à Cindy ! 😉
Je voulais t’écrire pour partager à Cindy le retour d’expérience de ma maman dans la lecture de son roman.
Elle a adoré ! Elle a lu le livre du début à la fin sans s’arrêter et l’histoire l’a beaucoup touchée personnellement. Pour information, cela faisait un moment que ma maman ne lisait plus. Ce livre l’a encouragé à se remettre à la lecture.
Pour tout cela, je voulais dire un grand merci à Cindy. Je crois que je n’aurai pas pu faire de plus beau cadeau de Noël à ma maman.
Une lecture qui répare le cœur
Si je devais résumer mon impression, ce serait celle d’une lecture d’une intelligence émotionnelle rare. C’est un roman choral qui explore avec une finesse incroyable les différentes facettes du deuil et de la mémoire. On le referme apaisé, avec la conviction profonde que c’est en partageant nos histoires que l’on trouve la force de laisser, enfin, le jour se lever.
Des personnages comme des miroirs de nos peines
La grande réussite de ce roman est de nous présenter un kaléidoscope de personnages dont les douleurs, bien que différentes, se répondent et se soignent mutuellement.
Zoé est le fil conducteur de cette quête de guérison. Sa culpabilité de survivante est un fardeau palpable qui la ronge de l’intérieur. Voir cette jeune femme, paralysée par le chagrin, oser faire le premier pas vers l’aide, puis s’ouvrir à la rencontre et à l’amour, est un chemin de reconstruction magnifique et plein d’espoir. On s’attache à sa fragilité et on admire son courage.
Arthur est le pilier silencieux et meurtri. Son histoire, marquée par la perte tragique de son amie Lydie, fait écho à celle de Zoé. C’est un personnage d’une grande noblesse, qui a transformé sa propre douleur en une vocation : celle de prendre soin des autres. Sa rencontre avec Zoé n’est pas seulement une romance, c’est la rencontre de deux survivants qui s’autorisent enfin à vivre à nouveau.
Le docteur Wintinger et Claude sont les voix de la sagesse, des hommes qui ont traversé des épreuves immenses (la séparation par le mur de Berlin, la maladie d’Alzheimer) et qui en ont tiré une philosophie de vie poignante. Leurs récits ne sont pas de simples anecdotes, ce sont de véritables leçons sur l’amour inconditionnel, la patience et la capacité à trouver de la beauté même dans la tragédie.
Un message puissant sur la « mémoire en bagage »
Le sous-titre du roman, « la mémoire en bagage », est d’une justesse absolue. Le livre explore brillamment comment nous portons tous le poids de notre passé. Mais il montre surtout que ce bagage n’est pas forcément un fardeau. À travers le partage, les souvenirs douloureux peuvent devenir des sources de force, des leçons de vie qui nous guident et nous connectent les uns aux autres.
J’ai trouvé la construction narrative, où chaque personnage devient tour à tour conteur, extrêmement habile. Elle nous rappelle que tout le monde a une histoire qui mérite d’être entendue et que l’empathie est le plus puissant des remèdes.
Conclusion
J’ai été captivé par cette mosaïque d’histoires humaines. Le rythme est parfaitement maîtrisé, alternant entre les souvenirs poignants des personnages et la naissance touchante de l’histoire d’amour entre Zoé et Arthur. L’écriture est pleine de métaphores magnifiques (les fleurs du docteur, les vieilles voitures d’Arthur) qui enrichissent le récit.
C’est un roman mature, profond et incroyablement lumineux. Il ne nie pas la douleur de la perte, mais il la sublime en montrant comment elle peut ouvrir nos cœurs à plus d’amour, de compassion et de gratitude. C’est une lecture qui réconforte, qui inspire et qui laisse une empreinte durable.
Perle.T – Critique littéraire
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