Radio DFM 930 – Les questions incontournables pour un recrutement efficace

  • par Cindy Triaire
  • Fév 08, 2018
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Les questions incontournables pour un recrutement efficace

Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour pour accompagner avec entrain les dirigeants de TPE à recruter efficacement de nouveaux membres pour leur équipe.

Recruter n’est pas une mince affaire. Cela suppose une prise de risque non négligeable pour le chef d’entreprise qui attend légitimement un retour sur investissement de cette opération. Aussi, recruter un nouveau salarié nécessite en amont de se poser un certain nombre de questions incontournables afin de se prémunir du plus grand nombre d’écueils.

Voici à ce titre ici résumés pour vous chers lecteurs, un listing des interrogations qui sauront accompagner votre réflexion avec pertinence.

Ai-je les moyens de recruter ? La conjoncture se prête-t-elle au recrutement que je souhaite opérer ? Ai-je véritablement besoin à ce jour de recourir à un recrutement ? S’agit-il par ailleurs d’un remplacement ponctuel pour maladie, congés maternité ou surcroît d’activité par exemple ou d’une création de poste à part entière en lien avec le développement de l’entreprise ? Dois-je, dans mon hypothèse, recruter en interne ou en externe ?

Il convient encore au-delà de ce travail de questionnement préalable, d’anticiper sur les évolutions possibles du poste en question : quelle est en effet sa vocation pour les deux ou trois prochaines années ?

Une fois ces questions stratégiques évoquées et selon la nature des réponses que vous y apportez, il convient à ce stade de définir les missions du poste et les objectifs associés : quelles sont les activités que la nouvelle recrue se devra de réaliser ? Quel est le degré de responsabilité qui lui sera confié?

De manière plus précise encore, vous devez réfléchir au positionnement qui sera le sien au sein de l’organigramme (nombre potentiel de personnes à manager, degré d’autonomie attendu, marges de manœuvres, nature et fréquence des relations qu’il se devra d’entretenir auprès de vos prospects,  de vos clients, de vos partenaires ou de vos fournisseurs par exemple).

Cette nouvelle vague de questions clarifiées, il vous faut encore mettre des mots sur une offre d’emploi qu’il vous reviendra de rédiger : Il s‘agit alors de préciser le degré de motivation attendu, les contraintes supposées par le poste si elles existent (s’il s’agit notamment d’un travail de nuit, d’un travail posté ou impliquant des déplacements fréquents).

Toutefois et afin d’attirer à vous les bons candidats, il faut également indiquer les facteurs d’attractivité du poste que vous cherchez à pourvoir tels que le télétravail aujourd’hui fortement apprécié par les candidats ou la possibilité d’aménagements horaires pour les temps partiels par exemple.

N’oubliez pas de spécifier la localisation du poste au travers notamment du secteur géographique à desservir, du rayon d’activité à couvrir ainsi que la nature des déplacements à prévoir.

Enfin, mentionnez autant que faire ce peu, la nature du contrat que vous souhaitez offrir (CDD, CDI, Intérim, contrat de professionnalisation, stage…) ainsi que la rémunération (au travers du fixe, des primes à l’intéressement ou des avantages que vous êtes effectivement en mesure de proposer.

Vous voici donc désormais armés pour assurer avec précaution mais non moins lucidité votre recrutement avenir !

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro !

Vidéo – Les questions incontournables pour un recrutement efficace

  • par Cindy Triaire
  • Fév 06, 2018
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Changer de job : une action salvatrice pour le moral !

Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour pour accompagner avec bienveillance toute personne en souhait de se reconvertir!

Combien d’entre nous ont un jour évoqué l’idée de quitter leur poste pour oser un nouveau départ ?

Nombreux sans aucun doute! Mais avant de se lancer dans cette noble et belle aventure, il nous revient toutefois d’en avoir dessiné avec application les contours et renforcé les lignes directrices. Changer de vie, de métier, de secteur d’activité implique en effet de nombreux paramètres que l’on ne peut omettre de prendre en considération.

Cette projection d’un nouvel avenir, plus épanouissant, plus sécurisant, peut-être source de bouleversements géographiques, familiaux, pécuniaires qui auront dû être pensés, envisagés, anticipés en amont.

Ce souhait de RECONVERSION peut être accompagné :0)

Dresser un état des lieux, valoriser les compétences, identifier les acquis transférables, repérer les potentialités, évaluer les contraintes et priorités, identifier les opportunités, recenser les facteurs favorables au changement, autant de points que l’on se doit d’approfondir pour définir avec justesse et pertinence les pistes d’évolution possibles et de valider ainsi la faisabilité du projet convoité !

Un travail de fond qui lorsqu’il est bien mené, permet une réelle et précieuse introspection !

Aussi, et parmi les paramètres qu’il peut être opportun de mettre en lumière, en voici quelques-uns ici centralisés :

1. Jauger votre moral 

Est-ce que je prends toujours autant de plaisir dans mon travail ? Mes différentes missions font-elles toujours sens à mes yeux ? Est-ce que j’apprends encore ? Quelle est la qualité de mon environnement relationnel ? Mon salaire est-il satisfaisant ? Si la plupart de vos réponses sont négatives, il est certain que votre moral n’est pas au top… Changer d’emploi peut vous permettre d’y remédier, en vous offrant l’opportunité de progresser sur ces différents fronts.

2. Tenez compte des symptômes qui se présentent à vous

Il est probable que vous ressentiez une certaine morosité, une perte d’élan ou que vous vous retrouviez avec un nœud à l’estomac une fois le dimanche soir arrivé. Certains d’entre vous peuvent également ressentir une certaine anxiété laquelle peut se solder par une hyper émotivité, de l’agressivité ou un isolement progressif… Pour d’autres cela peut relever de la somatisation à l’image de maux de têtes récurrents, de problèmes intestinaux ou de douleurs au dos.

3. N’aggravez pas la situation

Pas question pour autant, quel que soit le degré de votre malaise, de tout quitter sur un coup de tête sans quoi le réveil au petit matin pourrait s’avérer être une douche froide susceptible d’entraîner votre chute!

4. N’ayez peur de vous réapproprier votre vie

Dès l’instant où vous vous placez dans l’optique du changement, que vous prenez des contacts, cherchez à vous documentez, vous redonnerez un sens à vos actions et prendrez à nouveau plaisir à projeter une nouvelle vie professionnelle.

Vous voici désormais armés, chers lecteurs entrepreneurs, pour retrousser vos manches et lutter avec enthousiasme contre la morosité qui pourrait vous gagner !

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Pour aller plus loin :

Si vous souhaitez accompagner votre reconversion dans le cadre d’un accompagnement sur mesure et personnalisé, je vous invite à cliquer sur le lien suivant : Reconversion Professionnelle

Si vous souhaitez gagner en inspiration de chez vous, tentez l’aventure en cliquant sur le lien que voici : Changez de vie !

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro !

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Radio DFM 930 – Les trois raisons principales qui poussent les bons employés a démissionner

  • par Cindy Triaire
  • Fév 02, 2018
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Les 3 raisons principales qui poussent les bons employés à démissionner !

Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour pour accompagner avec entrain les managers et chefs d’entreprises pour une prise de conscience quant aux éléments qui peuvent conduire leurs meilleurs éléments à démissionner.

D’après l’une des dernières études en date, 3 raisons managériales peuvent être ici mises en lumière :

1. Les responsables d’équipes feraient travailler les meilleurs plus que les autres

Rien ne fait plus fuir les bons employés que de les surcharger de travail. Si au regard de leurs compétences et aptitudes, il est en effet tentant les faire travailler davantage, ils peuvent, à moyen terme, avoir le sentiment d’être punis et/ou pénalisés en raison d’une répartition inéquitable. Une étude de Stanford montre que l’efficacité et la productivité diminuent par ailleurs très nettement quand une personne travaille plus de 50 heures par semaine. Au-delà de 55 heures, il n’y aurait d’ailleurs plus de réel d’intérêt. A méditer donc !

Ainsi, si vous devez augmenter la charge de travail de vos employés les plus talentueux, il convient que leur statut évolue au prorata. Une augmentation, une promotion, une souplesse vis-à-vis des créneaux horaires, voici des manières possibles pour augmenter les heures passées au bureau en respect des efforts fournis.

2. Les managers ne seraient pas reconnaissants et ne récompenseraient pas suffisamment le travail pourtant réalisé avec efficience et application.

Nombre d’entre nous éprouvent le besoin d’être reconnus et félicités pour le travail effectué. Les managers doivent ainsi apprendre à communiquer avec leurs équipes pour savoir ce qui les fait se sentir utiles. Pour certains, cela passe par une augmentation, pour d’autres, par une reconnaissance publique. Il n’y a rien de plus frustrant que de donner de sa personne, d’obtenir des résultats mais de ne pas être valorisé pour cet investissement.

3. Les supérieurs hiérarchiques ne se soucieraient pas assez de leurs employés

Plus de la moitié de ceux qui quittent leur travail le feraient en raison de la mauvaise relation qu’ils entretiennent avec leur(s) supérieur(s). Certaines entreprises l’ont bien compris et demandent à leurs managers de ne pas négliger le facteur humain. En effet, un patron qui célèbre le succès d’un de ses employés, qui éprouve de l’empathie envers celui qui traverse une mauvaise passe ou qui n’hésite pas à motiver ses équipes offre une atmosphère positive et apaisante. Un dirigeant qui n’agit pas en respect de ces quelques principes pourra être rapidement confronté à un fort turnover.

Vous voici désormais armés, chers lecteurs chefs d’entreprise et managers, pour décrypter les raisons susceptibles d’encourager le départ de vos meilleurs salariés !

Vidéo – Les 3 raisons principales qui poussent les bons employés à démissionner

  • par Cindy Triaire
  • Jan 30, 2018
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Radio DFM 930 – Mon CV : Est-il ‘has-been’ ?

  • par Cindy Triaire
  • Jan 25, 2018
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Vidéo – Help ! Mon CV : Est-il ‘Has-Been’ ?

  • par Cindy Triaire
  • Jan 23, 2018
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Help : Mon CV est-il has been ?

Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour pour accompagner avec entrain toutes celles et ceux qui se posent la question de savoir si leur CV est has Been !

A l’image de la mode vestimentaire, il y a des choses qui ne se font pas. Ou du moins, qui ne se font plus. Voici pour vous, chers lecteurs, une liste de dix détails vieillots qui peuvent ternir une première impression.

Outre le fait que la police Times New Roman est un peu fatigante pour les yeux, l’utilisation de cette dernière n’est à ce jour plus d’actualité, contrairement à Arial ou Verdana, lesquelles sont perçues comme plus simples et plus proches des publications utilisées dans le monde de l’entreprise.

Attention à la taille du caractère choisi. Beaucoup de candidats utilisent un corps 12, pensant sans doute que le CV sera plus facilement lisible. Or cela fait un peu daté. Plus c’est petit, plus le CV renvoie une impression professionnelle. Si le corps 8 est un peu petite, la taille 10 peut être un bon compromis. Trop gros, cela fait un peu amateur.

Vérifiez vos tabulations ! Aujourd’hui, on ne tolère plus les erreurs de tabulation présentant des décalages dans les retraits. Cela peut ici traduire un manque de maîtrise de l’outil Word et c’est à n’en pas douter très mauvais pour l’image.

Le choix de votre photo n’est par ailleurs pas anodin. Si on décide d’apposer une photo sur son CV, il faut veiller aux éclairages sur le visage pour éviter les ombres projetées. Il y a des codes visuels à respecter : un sourire, un fond neutre, une tenue adaptée mais rappelons que la photo n’est aujourd’hui plus obligatoire. 

Soyez précautionneux ! Evitez les adresses mail vintage. Il est des indices qui font immédiatement ‘Old school’. C’est désormais assez rare mais cela arrive encore de voir des adresses mail du type “caramail”. De même, évitez les adresses familiales. À l’heure où l’on peut créer une adresse pro et sobre en deux clics, mieux vaut ne pas parasiter le message…

Dans un registre similaire, je vous invite à revoir vos diplômes. Il vous est en effet possible d’indiquer que l’on possède un bac L ou un bac littéraire à la place de l’ancienne appellation du bac A par exemple. Mieux vaut donner les nouveaux noms de ses diplômes. On ne connaît pas l’âge des recruteurs et tout ce qui facilite la compréhension du lecteur sera un plus. 

Dans le même esprit, je vous conseille l’usage de mots-clés facilement identifiables par les recruteurs et notamment par les logiciels de CVthèques.  Il faut à la fois penser à ajouter des informations pertinentes mais aussi à supprimer les noms de logiciels obsolètes qui donneront un côté vieillot à votre CV.

Enfin, je vous propose d’oublier le format Word, à la fois pour des raisons d’image et pour des raisons purement techniques lors de vos envois. Il suffit d’avoir choisi une police un peu rare ou une mise en page un peu particulière pour que le CV s’affiche n’importe comment sur l’ordinateur du recruteur. Le format PDF paraît clairement plus moderne et efficace. C’est un format de fichier lisible et inaltérable. Que votre CV soit bon ou mauvais, au moins le recruteur réceptionnera l’image de vous que vous avez choisie de lui montrer!

Vous voici désormais armés, chers lecteurs pour retravailler votre CV en respect des astuces ici communiquées !

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Pour aller plus loin :

Vous êtes impliqué, motivé, déterminé à faire la différence auprès d’un recruteur ? Vous aspirez à sortir du lot, à vous démarquer ? Découvrez vite une formation hautement accessible et très utile:  ‘ Formation : Oser la Réussite professionnelle !’

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro !